jeudi 3 mars 2011

Argentine= Cordoba : 14-18 février 2011

 Après 1 semaine à Buenos Aires et quelques interrogations quant à notre futur parcours à travers le pays, direction la gare routière pour acheter un billet pour Cordoba. On se retrouve dans un bus ‘cama’ (lit) avec des sièges dignes de ceux des 1ères classe en avion, vraiment confort ! 10h et 800km plus tard nous voilà débarqués à Cordoba, ville réputée pour son architecture coloniale et sa position centrale dans le pays.


Trajet pour Cordoba


L'attente à la gare routière pour notre premier bus
 

Batiments de Cordoba
 

Les mêmes, d'un autre angle, avec les filles...
  

Plaza San Matin, Cordoba
 
Une chaleur accablante (il faisait relativement bon à Buenos Aires) nous ‘refroidit’ et nous pousse rapidement vers des petits villages au bord de rivières dans les montagnes. Nous nous retrouvons ainsi à San Marcos de la Sierra, petit bled complètement paumé, une piste en terre, quelques batisses basses… on se croirait dans un village du far-west, surtout que l’on débarque à 14h, heure de la sieste, pas un chat ! Et puis le village s’anime et il s’avère être envahi par des jeunes baba-cools (ils les appellent les hippys, prononcé ‘ripiz’, d’où le nom du blog), tout tatoués, dread-locks, des tenues exubérantes, vendant artisanat, macramé, jouant de la musique…  Ca confère une ambiance très particulière à ce bled, très sympa ! Il s’avère qu’il y a énormément de ces jeunes en Argentine et qu’ils se déplacent beaucoup à travers le pays.
On passera 2 jours bien sympas dans le camping du village, au bord de la rivière, à se ballader et on fera même notre 1ère parrilla (barbecue) nous-même.



Petit dej à San Marcos de la Sierra
 

Baignade à San Marcos de la Sierra
 

On repart en direction du nord, et nous transférons par Jesus Maria, habritant une superbe "estancia" jésuite, missionaires s'étant implantés en Argentine.


Mission jésuite de Jésus Maria
 

En partant de San Marcos, un drôle de bonhomme a voulu nous suivre, sans que l'on comprenne vraiment pourquoi. A chaque bus, il monte avec nous. Un peu étrange, nous parlant de psychisme, mental... il nous explique vouloir fonder une communauté de voyageurs et qu'on lui payera son voyage lorsqu'il n'aura plus d'argent...


Noémie avec son pote chilien
 

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